
“De New-York à Paris, en passant par bien d’autres lieux. J’ai découvert des gens, et des objets magiques qui, dans de minuscules éraflures, conservent les marques du temps. J’ai réalisé les portraits de ceux qui protègent ces empreintes de la disparition. Avec l’image de cette trace, j’ai préservé la mémoire de l’oubli.” H. B.

La machine à coudre appartenait à ma grand-mère. J’ai appris à coudre avec ma mère qui l’utilisait de façon régulière.
Ricardo – juillet 2019 – Paris 75012
Coudre à la machine m’a toujours plu, aussi d’un point de vue rythmique. Je suis batteur et l’action des pédales est très similaire, il faut être régulier, tenir une sorte de rythme.
Les anciennes machines à coudre sont assez précises et ludiques en même temps.
Enfin, il faut noter le côté esthétique de la machine et fonctionnel du meuble qui cache les mécanismes une fois refermé.


© “Le Laboratoire de Lumière” – 2019
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