“De New-York à Paris, en passant par bien d’autres lieux. J’ai découvert des gens, et des objets magiques qui, dans de minuscules éraflures, conservent les marques du temps. J’ai réalisé les portraits de ceux qui protègent ces empreintes de la disparition. Avec l’image de cette trace, j’ai préservé la mémoire de l’oubli.” H. B.
La machine à coudre appartenait à ma grand-mère. J’ai appris à coudre avec ma mère qui l’utilisait de façon régulière.
Ricardo – juillet 2019 – Paris 75012
Coudre à la machine m’a toujours plu, aussi d’un point de vue rythmique. Je suis batteur et l’action des pédales est très similaire, il faut être régulier, tenir une sorte de rythme.
Les anciennes machines à coudre sont assez précises et ludiques en même temps.
Enfin, il faut noter le côté esthétique de la machine et fonctionnel du meuble qui cache les mécanismes une fois refermé.
© “Le Laboratoire de Lumière” – 2019
► Mémoire d’objets, la collection
► Nous écrire : desmotsdeminuit@francetv.fr
► La page facebook desmotsdeminuit.fr Abonnez-vous pour être alerté de toutes les nouvelles publications
► @desmotsdeminuit
Articles Liés
- Bucarest, troisième et dernier chapitre. Sur la voix des Balkans #13
En une soirée avec le Taraf de Caliu, Athina a rempli son carnet d'adresses plus…
- L’été du futur d'une bergère de Normandie. #90
Bien que la fin de l’été soit la plus agréable saison en Normandie, deux ou…
- Tout contre la distance et l'absence... Les carnets d’ailleurs de Marco et Paula #214
Image tirée de Lettres de femmes, court métrage d’animation d'Augusto Zanovello et Jean-Charles Finck (2015).…
-
« Hollywood, ville mirage » de Joseph Kessel: dans la jungle hollywoodienne
29/06/202052690Tandis que l’auteur du Lion fait une entrée très remarquée dans la ...