Julien Martineau, la mandoline couleur passion #12
Si vous savez encore goûter le plaisir simple et puissant d’écouter en silence de la musique, le nouveau disque du mandoliniste français Julien Martineau est fait pour vous. Et si vous pensez que la mandoline est un instrument riquiqui et désué, coincé entre le banjo et la guitare, vous allez avoir des surprises. De bien belles surprises. Julien Martineau a la passion contagieuse.
En guise de bienvenue, Julien Martineau nous a offert, sans façon, mais avec virtuosité et passion, la coda du concerto pour mandoline de Rafaelle Calace.
Au fait, Julien Martineau , c’est qui ?
État civil: Né en banlieue parisienne de parents non-musiciens, mais avec un papy qui, heureusement veillait au grain (voir itw).
Instruments: La mandoline. Pour être plus précis, la mandoline napolitaine, car figurez-vous que des mandolines, y’en a de tous les genres, et avec tous les passeports. Italienne d’abord, mais aussi anglo-saxone (mandola) ou florentine, ou américaine (bluegrass), irlandaise, ou brésilienne (bandolim). La mandoline, instrument facilement transportable a fait le tour du monde.
Musiques: La mandoline napolitaine, est utilisée bien au-delà de la musique d’accompagnement de chansons napolitaines. Vivaldi, Beethoven, et oui, mais aussi les compositeurs contemporains jusqu’à Karol Beffa.
Formation: Classique de chez classique. Mais, à celle-ci, ajoutez de trés bénéfiques études de musicologie ainsi qu’une passion savante pour la lutherie.
Particularité: Il est le seul mandoliniste français a avoir accés aux grandes scène internationales, pour y defendre la place de cet instrument si souvent et à tord méprisé. Il joue sur un modèle de mandoline conçu pour lui par le grand luthier canadien Brian N. Dean.
Complices: Rinaldo Alessandrini, Bertrand Chamayou, Nathalie Dessay, Laurent Naouri…
Prochain rendez-vous: La Folle journée de Nantes et lundi 4 février, à 20h00 au Théâtre de Marigny à Paris avec Thibault Garcia, le Quatuor Hermès, Edouard Macarez, Domi Emorine et Renaud Guy-Rousseau.
Image corporelle: Trés rapide, vif, presque inquiet, mais dans le même temps, plein de ces certitudes que donne la passion. Intelligence vive, c’est à dire, d’une grande curiosité.
Musiques: La mandoline napolitaine, est utilisée bien au-delà de la musique d’accompagnement de chansons napolitaines. Vivaldi, Beethoven, et oui, mais aussi les compositeurs contemporains jusqu’à Karol Beffa.
Formation: Classique de chez classique. Mais, à celle-ci, ajoutez de trés bénéfiques études de musicologie ainsi qu’une passion savante pour la lutherie.
Particularité: Il est le seul mandoliniste français a avoir accés aux grandes scène internationales, pour y defendre la place de cet instrument si souvent et à tord méprisé. Il joue sur un modèle de mandoline conçu pour lui par le grand luthier canadien Brian N. Dean.
Complices: Rinaldo Alessandrini, Bertrand Chamayou, Nathalie Dessay, Laurent Naouri…
Prochain rendez-vous: La Folle journée de Nantes et lundi 4 février, à 20h00 au Théâtre de Marigny à Paris avec Thibault Garcia, le Quatuor Hermès, Edouard Macarez, Domi Emorine et Renaud Guy-Rousseau.
Image corporelle: Trés rapide, vif, presque inquiet, mais dans le même temps, plein de ces certitudes que donne la passion. Intelligence vive, c’est à dire, d’une grande curiosité.
Dernier disque en date: Come una volta chez Naïve Classique. Une jubilation !
Julien Martineau , au parloir!
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