Marguerite D: Le cri du kiai, le cri du cœur…

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« De New-York à Paris, en passant par bien d’autres lieux. J’ai découvert des gens, et des objets magiques qui, dans de minuscules éraflures, conservent les marques du temps. J’ai réalisé les portraits de ceux qui protègent ces empreintes de la disparition. Avec l’image de cette trace, j’ai préservé la mémoire de l’oubli. » H. B.

Marguerite D.

Bien plus qu’une chaîne qui relie les deux branches d’un nunchaku, il s’agit pour moi d’un pont entre deux cultures, deux époques, deux générations, deux vies.

Marguerite D., Palaiseau (Essonne) – juin 2015.

Marguerite D., Palaiseau (Essonne) – juin 2015.

*Le cri du kiai

© « Le Laboratoire de Lumière » –2016.



Mémoire d’objets, la collection