
Rêves opiacés.

Il y a 25 ans je rêvais d’être conservateur de la Maison de Pierre Loti, il se trouve que ce lit à opium chinois a appartenu à son médecin…
Cadeau offert à un jeune couple, il comporte deux extraits d’un poème de Xi Peilan (1768 – 1829), poétesse de la Dynastie Qinq:
« Quel plaisir d’avoir une épouse charmante qui prépare l’opium la nuit tandis que son mari lit. »
« Heureux l’homme dont la femme amoureuse joue d’un bel instrument, au clair de lune, dans la douce brise du printemps. »
De quoi rêver!Annick B., Bordeaux – septembre 2016
Annick B., Bordeaux – septembre 2016


© « Le Laboratoire de Lumière » – 2016
> Mémoire d’objets, la collection
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