Desmotsdeminuit #457 : l’Algérie, la beat generation, une américaine au Français

Une histoire binationale dont on ne sort pas, qui se dit par le métier des pères dans l’est sidérurgique ou dans le quotidien sépia d’un autre temps; une route que Kerouac parcourut et qui reste terre d’aventure; une puce qu’il s’agirait d’épargner à La Comédie-Française; une architecture pensée en 3D et un rocker valenciennois… C’est décidément desmotsdeminuit.fr!

INCERTAIN REGARD : « nostalgie d’Algérie » …

La relation entre la France et l’algérie est aussi évidente que résiduellement douloureuse ou mélancolique. Deux manières de l’exprimer sont ici proposées, un demi-siècle après l’indépendance. Par le cinéma documentaire et le film d’Abdallah Badis, dont le père fut ouvrier des aciéries de Lorraine; par le roman avec « Alger sans Mozart » que signent dans une belle qualité de plume deux médecins, compagnons d’écriture, Michel Canesi et Jamil Rahmani dont le grand-père, écrivain, fut président du « Pen-club » algérien.

  

 

CONVERSATION… 

Jean-François Duval, journaliste, dans son livre « Kerouac et la Beat Generation » ausculte la route de quelques héros de la contre-culture américaine.  

 La dramaturge Naomi Wallace entre à La Comédie-Française avec sa pièce « Une puce, épargnez-là » mise en scène par Anne-Laure Liégeois. 

Entretien avec Dominique Jakob et Brendan Mac Farlane, architectes, sur l’ouverture des « Docks, cité de la mode et du design » .

MUSIQUE… 

Régis Israël  le valenciennois et son groupe Greenshape : « Feel better » et  « Seed and Sand ».
 

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