Personne n’est dupe, à commencer par lui, le dandy photographe avec chien qui sait bien que « Reporters sans frontières » est venu le chercher pour le mélange des genres contemporain. Jean-Marie Périer se voudrait revenu de tout et de ces années 60 qui l’ont sacralisé, de cette quête des origines qui l’a laissé désemparé, du vacarme actuel qui l’installe à demeure dans la France des provinces.
Car l’homme revendique le spectacle, donc le mensonge. « La réalité je m’en tape! » affirme-t’il pour mieux accepter la proposition de « Reporters sans frontières » qui le sacralise autrement. Ses mythes ont des prénoms : Françoise, Sylvie, Johnny, Jacques, Claude. Il sont des photos qu’il ne lui serait plus possible de refaire. Trop de marché. D’immédiateté. Business is business…
Jean-Marie Périer en son site…
• Jean-Marie Périer est signataire de la tribune Sauvez la photographie! parue en juin 2020 pour alerter sur les grandes difficulté de la profession après la période de confinement.
le site de Reporters sans frontières
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