DMDM #421: se contorsionner, boxer, mettre en scène, chanter, aimer la poésie
Quand le boxeur dit qu’il vient de nulle part et qu’il va y retourner; quand la contorsionniste dit par le corps la schizophrénie ou la dépression d’un frère; quand le metteur en scène finit par admettre des « colères sacrées »; quand, à Téhéran, des parents vous nourrissent de poésie persane et française; quand la chanteuse béninoise dit l’ailleurs c’est… « Desmotsdeminuit »!
Des mots de minuit N°421 du 15 juin 2011.
Réalisation : Antony Mutti
Rédaction en chef : Rémy Roche
Production : Thérèse Lombard et Philippe Lefait
Journalistes : Sophie Joubert, Lorenzo Ciavarini Azzi
©desmotsdeminuit.fr/France2

La contorsionniste canadienne, pour son livre « l’angela bête ». Son mot de minuit est « articulation ».

« Je ne sais rien de mieux que le théâtre. » Et un mot : « Vivre »
Le metteur en scène et dramaturge signe le troisième tome de son livre autobiographique sur sa carrière « Ici moins qu’ailleurs ».

Le mot de minuit de ce champion du mode de boxe est « combat » parce que dit-il, « dans la vie, il faut toujours se battre! ».
« A poings nommés » est le titre de son autobiographie.

Professeur à l’Insitut national des langues orientales, spécialiste de littérature amoureuse et mystique, Leili Anvar, passionnée de poésie afghane et iranienne signe le livret -« Trésors dévoilés »- d’un oratorio donné lors du festival des musiques sacrées de Fès. Un mot : « Résonance ».

MUSIQUE :

Fafa Ruffino pour deux chansons de son album « Ilé ».