DMDM #46. Peter Sellars: « La modernité, oui mais c’est l’Histoire qui engage! »
Quand la chorégraphe fait du danger et de l’urgence les moteurs de sa création; quand le metteur en scène américain préfère à l’immédiateté de la modernité le miel des textes du passé; quand la dessinatrice partage sa peinture comme on partagerait un repas; quand un groupe musical se constitue contre le conservatisme d’un maire, quand un autre questionne la mémoire de la chanson populaire…
Des mots de minuit : émission N°46 du 29 novembre 2000.
Réalisation: Jean-François Gauthier
Rédaction en chef : Rémy Roche
Production: Thérèse Lombard et Philippe Lefait
©desmotsdeminuit.fr/France2
MANIÈRES DE VOIR:
Il faut toujours avoir l’impression de découvrir le rôle que l’on va interpréter, ne pas se rappeler d’un souvenir ou d’un autre spectacle. C’est important de se mettre en état d’urgence ou de danger. Ce que j’essaye de toujours faire pour tout… Il faut avoir la générosité de s’abandonner, de se mettre à la disposition du créateur, et quand je chorégraphie, de me mettre en danger vis à vis des danseurs que j’ai en face de moi. Sinon, on arrive à quelque chose de mécanique!
Marie-Claude Pietragalla. DMDM, 2000.

On peut trouver la modernité partout. Je n’ai pas besoin de travailler pour trouver la modernité. C’est là! Ce que je cherche plutôt, parce que je suis américain, que je suis d’un pays où tout va si vite, c’est de faire écouter les voix des ancêtres, notamment celles des textes sacrés…
Peter Sellars. DMDM, 2000.

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