Alex Gopher et le son électro Daniel Duigou et Dieu, dans tout ça 🎼 avec Dikès et Marie-Reine Wallet #15

Pour Gopher? Trop facile, trop drôle! Bof! Sauf quand la musique peut aussi s’inventer dans l’approximation et la sonorité d’un nom ou d’une série TV. Sinon, Daniel Duigou est symboliquement défroqué : prêtrise, journalisme et psychanalyse. Revoir dans ce numéro « Desmotsdeminuit » Bjork ne gâche rien à l’aventure…

Alex Gopher, ingénieur du son de formation, famille d’inventeurs et bassiste classique doit son nom d’artiste à la série « La croisière s’amuse ». Il a créé le label Solid avec Etienne de Crécy et Pierre Michel Levallois et participé à la création de Air, ordinateurs et samplers comme instruments. la musique, il la dévore. La techno, il ne partage pas son analyse structurelle… Bjork et Gainsbourg (« Melody Nelson ») à la clef…

Daniel Duigou est prêtre, jounaliste et psychanalyste. Dans cet ordre, ou non. « J’ai fait ce parcours pour regarder et comprendre au mieux la société ». Pilule, célibat des prêtres, PACS. Le curé a du répondant. Il appartient à une église qui bouge et dont il veut faire partie. Pour Gopher : « un « électron libre qui affirme ses différences ». Duigou réplique qu’il ne veut pas être l’exemple qu’on exhibe pour éviter d’avancer…

Anne Marie Paquotte (Télérama) évoque la musique électronique de Gopher et le combat des petits labels face aux grosses compagnies de production.

Fabrice Bousteau de la revue Beaux Arts présente le dernier numéro de la revue qui propose une sélection des 40 artistes contemporains les plus importants, par exemple Fabrice Hybert « Teddy Bear en peau de poisson » dans lequel l’artiste déguisé en ours en peluche à écailles se promène dans une rue de Tokyo.

Dikès chante « Mowgli ».

Marie-Reine Wallet. « Méphisto fêlé ».