Théâtre chilien et cinéma péruvien. À l’occasion du « Paris-Dakar » #400

À l’occasion d’un « Paris-Dakar » qui envahissait encore l’Afrique de ses pétarades avant d’aller polluer l’Amérique du sud, « Des mots de minuit » préférait les chemins de traverse en allant questionner d’autres façons de faire parler du continent avec ses artistes, qu’ils écrivent, qu’ils chantent, peignent ou s’engagent dans les combats de santé publique, de réformes sociales, de désir d’avenir

• Des mots de minuit #400 du 5 janvier 2011
  À l’occasion du Dakar (Chili et Pérou)
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• Avec 
• – Juan Carlos Zagal et Laura Pizarro du « Teatro cinema », compagnie chilienne de théâtre. 
  

  

• Ils évoquent L’homme qui donnait à boire aux papillons, leur dernier spectacle qui associe théâtre et cinéma. Ils expliquent le dispositif, comment ils en ont eu l’idée et ce qu’ils veulent faire ressentir et transmettre aux spectateurs par ce biais. Ils reviennent également sur leur carrière mutuelle, expliquent comment ils ont réussi à faire du théâtre à l’époque de Pinochet et décrivent la structure et le fonctionnement de leur troupe. Ils parlent enfin de leur conception du théâtre, de la manière dont ils créent, de ce qu’expriment leurs créations, du style, du ton et des thèmes de leurs pièces, en particulier la dernière.
  

  

   

   

• – Et Diego et Daniel Vega, cinéastes péruviens.
  

  

   

  Leur premier film, Octubre, a obtenu le prix du Jury dans la catégorie Un Certain Regard au Festival de Cannes 2010. Ils racontent en particulier l’histoire du film, en évoque le thème et le message et parlent des coulisses de sa création et de sa réalisation. Ils évoquent également leur style de réalisation et leurs références cinématographiques et donnent enfin leur point de vue sur l’état et la situation actuelle du cinéma péruvien.

  

   

  Émission #400 du 5 janvier 2011
  Réalisation: Anthony Mutti
  Rédaction en chef : Rémy Roche
  Journalistes: Lorenzo Ciavarini Azzi et Nathalie Mantovani
  Production: Thérèse Lombard et Philippe Lefait
  © Desmotsdeminuit/France2