1925-2015. La mort de l’américain James Salter : 90 ans et une poignée de romans

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Six romans en 90 ans. Il n’en faut pas plus pour devenir un as de la fiction romanesque américaine. Son objectif était de faire du « grand amoncellement des jours » quelque chose qui dure et de trouver, toujours, obsessionnellement « le meilleur mot possible ». « Un sport et un passe-temps » et « Un bonheur parfait », traduits chez « L’olivier » au milieu des années 90 sont deux grands livres.

En 1999, il est chez desmotsdeminuit

Extrait de l’émission (#6) du 13 octobre 1999.

Réalisation: Jean-François Gauthier
Rédaction en chef: Rémy Roche
Production: Thérèse Lombard, Philippe Lefait
©desmotsdeminuit.fr

James Salter passe en revue quelques uns de ses livres dont « une vie à brûler ». Il parle de sa jeunesse, notamment une carrière de pilote (US Army et guerre de Corée), plus accessoirement une autre de vendeur de piscines, rangées sur l’étagère des souvenirs. Dans ce numéro desmotsdeminuit, il fait l’éloge de la France et des petites villes de province, des femmes qui sont plus fortes que les hommes. Il pense au courreur de fond finlandais Paavo Nurmi qu’il admire et donne sa définition du héros. S’il a été scénariste, il préfère la pérennité de l’écriture romanesque.  
A ses côtés, Andrée Morier, qui évoque ses souvenirs lyonnais et une vie professionnelle de canuse.

 

Cette émission est disponible dans son intégralité dans la vidéothèque desmotsdeminuit.  

La mémoire desmotsdeminuit…


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